L’OMS se réjouit de la diminution du nombre d’infections liées au virus Kanteskonariv

© Nicolas Buffler

SANTÉ - Grâce aux efforts de l’OMS, soutenus par le FMI et l'ensemble de la classe politique française, l’épidémie du Kanteskonariv sort de sa phase critique.

Selon un communiqué commun de l’Organisation Mondiale de la Santé et du Fonds Monétaire International, en France, « le nombre de nouvelles infections liées au Kanteskonariv a reculé de 47% ». C’est dans les départements de Seine-Saint-Denis, des Bouches-du-Rhône et du Nord que l’épidémie a le plus diminué : « plus de 2 enfants sur 3 ne partiront pas en vacances cet été », se réjouit l’OMS.

Seul point noir au tableau, les gains financiers des plus riches sont en hausse constante. « Les classes aisées souffrent plus que les autres du Kanteskonariv. Car, lors d'un long voyage, la question écholalique "Papa, Maman, quand est-ce qu'on arrive ?" peut provoquer des disputes à tout moment », s’inquiète la directrice générale du FMI Christine Lagarde. Une épreuve douloureuse pour ces mères et pères de famille qui ne sont pas habitués à fréquenter leur progéniture, confiée le reste de l'année à une tierce personne. « Après des vacances éprouvantes, les chefs d’entreprise ont plus de mal à licencier. Et je ne vous parle même pas des effets secondaires liés au décalage horaire suite à un séjour à Tahiti », observe Michel Sombrel, directeur exécutif de l’OMS.

Mais Christine Lagarde se veut rassurante : « Même dans les beaux quartiers l’épidémie se stabilise, notamment grâce à une augmentation spectaculaire des mises en examen pour détournement de fonds publics et recel d'abus de biens sociaux, sans oublier les emplois fictifs. Mais, si les plus riches ne peuvent pas partir en vacances, ils n'iront pas non plus en prison ! ».

F. Dupont | l'Immunité.fr
Francis Dupont est ingénieur agronome de formation, diplômé de l'Institut national agronomique Paris-Grignon. Il est également spécialiste dans les études statistiques et les études de marché.

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